Département : angiospermes (Magnoliophyta).
Classe : monocotylédones (Monocotylédones).
Ordre : de couleur aralie (Arales).
Famille : Araliacées (Araceae).
Genre : amorphophallus (Amorphophallus).
Espèce : amorphophallus pionolisty (A. paeoniifolius).
Amorphophallus pionolifolia est commun dans le nord de l’Australie et en Asie du Sud-Est, introduit en Afrique et en Amérique. L’utilisation de la plante amorphophallus n’est pas aussi répandue que, par exemple, celle du ginseng (un autre représentant de la famille Araliyev), mais la floraison de l’amorphophallus attire l’attention. Faites attention à la photo d’amorphophallus – pour leur forme bizarre, les fleurs d’amorphophallus sont souvent appelées “phallus sans forme”.
Dans la nature, il s’installe à 700 m d’altitude dans les forêts, les buissons, les prairies et les crevasses rocheuses. La plante amorphophallus préfère les endroits humides semi-ombragés.
Floraison d’Amorphophalus
Les bourgeons de renouvellement de cette vivace herbacée sont déposés sur un tubercule elliptique brun atteignant 40 cm de diamètre.Une (parfois deux) feuille est énorme, d’environ 1 m de long, disséquée en lobes. Pétioles tachetés, verruqueux, jusqu’à 2 m de long et jusqu’à 20 cm d’épaisseur Limbe foliaire d’environ 1 m, vert clair, tripartite.
La reproduction est semencière et végétative – par les tubercules filles. Les feuilles apparaissent au début de l’automne et tombent au printemps. Pollinisé par des mouches mortes. Les fruits mûrissent en octobre – novembre, les graines sont transportées par les oiseaux.
Application de fleurs d’amorphophallus
L’espèce est cultivée comme légume. Dans la cuisine japonaise traditionnelle, la plante amorphophallus est utilisée pour faire des soupes ou pour ajouter aux ragoûts. Ses tubercules sont également utilisés en médecine traditionnelle pour les rhumatismes, les maladies des poumons et du système digestif.
L’espèce a une large gamme et s’adapte facilement à de nouveaux habitats. On sait peu de choses sur la taille de la population d’Amorphophallus pionolifolia, mais rien ne menace la plante dans un avenir prévisible.